« LA VIE DE CHÂTEAU », premier film de Modi BARRY et Cédric IDO – Sortie le 9 août 2017

Par : Rémi Castillo | Durée : 1min 41sec | Postée : Il y a 7 ans | Chaîne : Jeunes Talents du Cinéma
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Avec Jacky Ido, Ralph Amoussou, Tatiana Rojo, Hoji Fortuna, Yang Yilin, Jean-Baptiste Anoumon …
 
Paris, station Château d'Eau. Charles est le chef d'un groupe de rabatteurs employés par les salons de coiffure afro du quartier. Charismatique, Charles règne sur son bout de trottoir où on le surnomme le « Prince ». Il est même sur le point de s'installer à son compte et de racheter le salon d'un barbier kurde dont les affaires périclitent. Mais un service rendu à un ami jaloux et l'ascension sur le boulevard d'un jeune rival aux méthodes plus agressives vont l'entraîner dans une dangereuse spirale dont ses rêves, sa réputation et sa garde-robe ne sortiront pas indemnes.
 
Modi BARRY est un réalisateur et acteur, connu pour Carpe diem (2005) et Amen (2002).
 
Cédric IDO est un réalisateur burkinabè né en 1980 à Stains dans la banlieue parisienne. En 1983, la famille vient s’installer au Burkina Faso, peu de temps avant que Thomas Sankara ne prenne le pouvoir avec ses amis, pour une révolution qui va bouleverser ce pays. Il restera 5 ans au cœur de cette révolution dans laquelle il va grandir, entre ses rêves d’enfant et cette révolution durant laquelle tout parait possible. De retour à Stains, il s’ennuie un peu dans le monde scolaire et il se passionne d’abord pour la bande dessinée. Au collège il monte plusieurs pièces et continue au lycée, à Aubervilliers, encadré par un acteur confirmé Fabrice Melquiot. Lors d’une représentation au théâtre de la ville, il est remarqué par une directrice de casting qui le présente à un agent. Il jouera plusieurs rôles, s’inscrit à l’université Paris 8 Saint Denis, en anglais mais s’incruste dans les cours de cinéma, suit des cours aux conservatoires du 1er et du 11ème arrondissement. Il passe deux ans à New York où il va poursuivre sa formation artistique au Purchase College. Son premier court métrage est sélectionné dans différents festivals et recevra un prix au FESPACO, le festival panafricain du cinéma de Ouagadougou. ll est remarqué et sélectionné par une productrice américaine pour écrire une deuxième fiction : Twaaga.